Ischia Calcio. Marc, Marc…


Comme il se doit dans le football, l'entraîneur est toujours le premier à en payer le prix. Il en a toujours été ainsi et il en sera ainsi tant qu'un ballon circulera entre onze joueurs portant un maillot et onze autres portant un autre.
Mais ces derniers temps, contrairement à la tempête de neige (peut-être méritée) qui a frappé Antonicelli, pas une seule voix, aucun commentaire, aucune critique ne s'est élevé à propos du travail du manager général. Pourtant, il est l'architecte de l'équipe, cette même équipe qui manque actuellement de conviction et qui ne sera réévaluée qu'à la prochaine victoire.
Sa recherche à travers le « globe » entier – pour citer Meloni – de joueurs capables de renforcer Ischia, révélera bientôt s'il s'agissait d'une aventure fantastique digne d'être racontée ou du fruit d'une connaissance profonde et réelle du football.
Et si le jugement reste aujourd'hui suspendu, il est tout aussi clair que, si de nouveaux faux pas devaient se produire, la responsabilité ne pourra plus retomber uniquement sur les entraîneurs : le poids des décisions et des évaluations du marché finira inévitablement par frapper à la porte du directeur.
Il Dispari